Trois regards nous parlent du vodou, longtemps enfermé dans le carcan des stéréotypes de l’homme blanc.
Louis-Philippe Dalembert choisit la littérature pour nous dire en une fascinante nouvelle les mots et les choses du vodou, son regard d’enfant tenu à l’écart de ces rites et pourtant subjugué par eux. Les arcanes de son récit, sa langue, précipité délicieux de gouaille parisienne et d’argot créole, font de ce récit d’initiation le lieu d’une autre initiation : la nôtre.
David Damoison nous convie à la force d’images, saturées de matière et d’esprit et comme devant rester muettes. Soixante-dix photographies, autant d’images mentales et de spiritualités en acte.
Laënnec Hurbon, enfin, apporte son savoir d’anthropologue et retrace la généalogie du vodou, comme mémoire de la Traite et de l’esclavage, mais aussi comme source de l’identité individuelle et collective en Haïti.
Trois regards autonomes et qui se complètent pourtant, nous laisse fascinés de beauté et exsangues d’émotions.
Louis-Philippe Dalembert choisit la littérature pour nous dire en une fascinante nouvelle les mots et les choses du vodou, son regard d’enfant tenu à l’écart de ces rites et pourtant subjugué par eux. Les arcanes de son récit, sa langue, précipité délicieux de gouaille parisienne et d’argot créole, font de ce récit d’initiation le lieu d’une autre initiation : la nôtre.
David Damoison nous convie à la force d’images, saturées de matière et d’esprit et comme devant rester muettes. Soixante-dix photographies, autant d’images mentales et de spiritualités en acte.
Laënnec Hurbon, enfin, apporte son savoir d’anthropologue et retrace la généalogie du vodou, comme mémoire de la Traite et de l’esclavage, mais aussi comme source de l’identité individuelle et collective en Haïti.
Trois regards autonomes et qui se complètent pourtant, nous laisse fascinés de beauté et exsangues d’émotions.