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samedi 4 septembre 2010

Eric Schlosser : Fast Food Nation. The Dark Side of the All-American Meal

Fast food has hastened the malling of our landscape, widened the chasm between rich and poor, fueled an epidemic of obesity, and propelled American cultural imperialism abroad. That's a lengthy list of charges, but Eric Schlosser makes them stick with an artful mix of first-rate reportage, wry wit, and careful reasoning.
Schlosser's myth-shattering survey stretches from California's subdivisions, where the business was born, to the industrial corridor along the New Jersey Turnpike, where many of fast food's flavors are concocted. Along the way, he unearths a trove of fascinating, unsettling truth - from the unholy alliance between fast food and Hollywood to the seismic changes the industry has wrought in food production, popular culture, and even real estate. 

mardi 31 août 2010

Truman Capote : Breakfast at Tiffany's

La ravissante Holly Golightly mène une vie légère et frivole et traîne sur la Cinquième Avenue devant la vitrine de Tiffany, célèbre joaillier new-yorkais. Mais cette désinvolture, ce goût du luxe ne cachent-ils pas d'anciennes blessures soigneusement dissimulées sous une séduisante mélancolie qui fait chavirer le cœur des hommes ?
Dans ce célèbre roman adapté au cinéma avec Audrey Hepburn, Truman Capote mêle humour et désespoir avec une sensibilité rare.

dimanche 22 août 2010

Michael Connelly : À genoux

Le corps du Dr Stanley Kent vient d'être retrouvé au belvédère naturel proche de Mulholland Drive : deux balles dans la nuque, style exécution. Nouvellement affecté à la section Homicide Special, l'inspecteur Harry Bosch découvre vite que le Dr Kent avait accès à des matières radioactives utilisées dans le traitement de certains cancers féminins... et que ces matières ont disparu. Aux yeux de l'agent spécial du FBI Rachel Walling, que Bosch aime encore malgré leur rupture après le fiasco d'Echo Park, ce meurtre et cette disparition risquent fort de marquer le début d'un attentat terroriste à la bombe sale. Donc conflit ouvert et cette fois, Bosch n'est pas sûr d'avoir le dessus : il y a certes de la parano dans les services de la sécurité du territoire, mais la menace islamiste est bien réelle...

samedi 21 août 2010

Lawrence W. Levine : Culture d'en haut, culture d'en bas. L'émergence des hiérarchies culturelles aux États-Unis

Comment la culture aux États-Unis est-elle passée d'une réalité partagée par des publics socialement diversifiés à un univers clairement séparé des pratiques de divertissement et réservé à une élite ? Pour répondre à cette question, l'historien américain Lawrence W. Levine retrace la trajectoire, au tournant des 19e et 20e siècles, des formes d'expression qui constituent aujourd'hui la culture "savante" : théâtre - en particulier shakespearien, sur lequel il s'attarde pour montrer à quel point le spectateur ordinaire s'était approprié le répertoire et se manifestait durant les spectacles -, opéra, musique symphonique, musées.

Levine enquête à la fois sur le langage employé pour évoquer et classer les biens culturels, sur les institutions mises en place par les élites urbaines pour imposer leurs normes et sur les pratiques des spectateurs et leurs résistances. Par un processus de "sacralisation" et de "bifurcation", la riche "culture publique partagée" qui caractérisait les États-Unis jusqu'au milieu du 19e siècle se serait fracturée en cultures séparées et hiérarchisées. L'auteur analyse ainsi les rapports de pouvoir à l'œuvre dans la définition, l'organisation et la réception de la culture. Il montre comment la notion même de culture s'est trouvée étroitement associée aux notions d'ordre et de hiérarchie, et comment les publics ont été "disciplinés".

 Devenu une référence outre-Atlantique, Culture d'en haut, culture d'en bas a renouvelé la compréhension de la réception des œuvres, de la légitimité culturelle, des politiques culturelles et de la place des publics dans les institutions.

dimanche 8 août 2010

Stephenie Meyer : The Twilight Saga / 2. New Moon

For Bella Swan, there is one thing more important than life itself: Edward Cullen. But being in love with a vampire is even more dangerous than Bella could ever have imagined. Edward has already rescued Bella from the clutches of one evil vampire, but now, as their daring relationship threatens all that is near and dear to them, they realize their troubles may be just beginning...

jeudi 5 août 2010

Candace Bushnell : The Carrie Diaries

The Carrie Diaries is the coming-of-age story of one of the most iconic characters of our generation. 

Before Sex and the City, Carrie Bradshaw was a small-town girl who new she wanted more.  She's ready for real life to start, but first she must navigate her senior year of high school. Up until now, Carrie and her friends have been inseparable. Then Sebastian Kydd comes into the picture, and a friend's betrayal makes her question everything.

With an unforgettable cast of characters, The Carrie Diaries is the story of how a regular girl learns to think for herself and evolves into a sharp, insightful writer. Readers will learn about her family background, how she found her writing voice, and the indelible impression her early friendships and relationships left on her. Through adventures both audacious and poignant, we'll see what brings Carrie to her beloved New York City, where her new life begins.

vendredi 16 juillet 2010

Dan Brown : Anges et démons

ILLUMINATI... Robert Langdon n'en croit pas ses yeux. Pourtant l'inscription s'étalait bien devant lui, marquée au fer rouge sur le cadavre de Leonardo Vetra, éminent chercheur du Conseil européen pour la recherche nucléaire en Suisse.
Pour le célèbre symbologue, ce crime est signé : la société secrète tant redoutée est de retour après quatre siècles de silence.
Son but ? Anéantir l'Église catholique et son symbole, le Vatican...

mercredi 14 juillet 2010

Jim Morrison : Une prière américaine

Ce volume complète Seigneurs et Nouvelles créatures en ce sens que sont maintenant disponibles la quasi-totalité des écrits de Jim Morrison. La première partie de ce volume regroupe, classés disque par disque, les textes des chansons écrites par Morrison pour les Doors.
Une prière américaine n'avait été publiée aux États-Unis qu'en plaquette tirée à 200 exemplaires uniquement réservés aux amis de Jim Morrison. Ode à L.A. en songeant à feu Brian Jones est un écrit plus rare encore puisqu'il n'avait circulé que sous la forme d'une feuille imprimée, distribuée au public lors de concerts des Doors en 1969.
Enfin, le texte qui termine ce recueil fut publié en 1968 dans la revue américaine Eye.

lundi 31 mai 2010

Carolyn Jessop : Escape

When she was eighteen years old, Carolyn Jessop was coerced into an arranged marriage with a total stranger: a man thirty-two years her senior. Merril Jessop already had three wives. But arranged plural marriages were an integral part of Carolyn's heritage: She was born into and raised in the Fundamentalist Church of Jesus Christ of Latter-Day Saints (FLDS), the radical offshoot of the Mormon Church. Over the next fifteen years, Carolyn had eight children and withstood her husband's psychological abuse and the watchful eyes of his other wives, who were locked in a constant battle for supremacy. Carolyn was miserable for years and wanted out, but she knew that if she tried to leave and got caught, her children would be taken away from her. In 2003, Carolyn chose freedom over fear and fled her home with her eight children. She had $20 to her name.

Not only did Carolyn manage a daring escape from a brutal environment, she became the first woman ever granted full custody of her children in a contested suit involving the FLDS. And in 2006, her reports to the Utah attorney general on church abuses formed a crucial part of the case that led to the arrest, and later the conviction and sentence, of their notorious leader, Warren Jeffs.

dimanche 2 mai 2010

Philippe Jacquin : Terre indienne. Un peuple écrasé, une culture retrouvée

1890. L'assassinat de Sitting Bull et le massacre de Wounded Knee marquent la fin des guerres indiennes et le début de l'Amérique que nous connaissons aujourd'hui. Cent ans après, au moment où l'Occident prépare activement le cinquième centenaire des Découvertes de 1492, il est important de s'interroger sur ce monde indien d'Amérique du Nord dévasté par ses conquérants. Une civilisation brisée, une culture écrasée. Reste dans nos mémoires d'enfants, dans nos récits et dans nos films, un Indien stéréotypé comme un fantôme qui reviendrait ou disparaîtrait au gré des spectacles et des modes.

Depuis cent ans, ce pillage de l'imaginaire indien, cette récupération de ses mots et de ses images (le missile "Tomahawk") font partie d'une lutte symbolique contre laquelle les Indiens d'aujourd'hui se dressent, aux Etats-Unis comme au Canada. On assiste à un "retour" des Indiens, à un regain d'intérêt des chercheurs et du grand public pour les cultures minoritaires, leurs valeurs, leur respect de la nature, leur rapport au temps et au sacré.

jeudi 22 avril 2010

Philippe Jacquin : Le cow-boy. Un Américain entre le mythe et l'histoire

Héros favori de la littérature de l'Ouest américain dès le 19e siècle, le cow-boy s'est définitivement imposé au 20e siècle grâce au western. Le sourire de Gary Cooper, le profil de Clint Eastwood et la carrure de John Wayne ont fait le tour du monde. La réalité historique du personnage s'est brouillée derrière l'artifice de cette image, son passé s'est effacé devant le mythe.

A l'époque des expériences coloniales hispanique et anglo-saxonne qui ont marqué la conquête des Amériques, rien ne distingue ce simple vacher du chopo mexicain ou du gaucho argentin. Et aux belles heures de l'élevage texan, après une journée de piste sur un cheval dont le prix sera déduit de son maigre salaire, ce "travailleur ordinaire du bétail" n'a pas toujours l'allure ni l'âme d'un héros.

Le cow-boy s'affirme dans l'Amérique anglo-saxonne prospère du 20e siècle. Il est utilisé dans la lutte contre le métissage et imposé dans un processus de quête d'identité nationale. Homme de la terre, aventurier, individualiste, il fait le lien entre l'Amérique pastorale et l'Amérique industrielle.

Incarnation du rêve américain, le cow-boy est un parfait exemple de la réussite des inventions culturelles de l'Amérique, Philippe Jacquin, spécialiste de l'Ouest américain, le démontre avec brio dans ce livre.

lundi 5 avril 2010

J.E. Seaver : Récit de la vie de Mrs Jemison enlevée par les Indiens en 1755 à l'âge de douze ans

Le récit de Mary Jemison, publié pour la première fois en 1824, a été réédité plus de trente fois en anglais avant sa première édition en français aujourd'hui. On y lira le témoignage tranquille et fascinant d'une femme qui, chez les Senecas, a vécu cette période troublée de l'Amérique du Nord où le déclin de la puissante Ligue des Iroquois s'achève et où la vie misérable des réserves s'installe.
Commenter savamment ce récit n'ajouterait rien à sa valeur pour qui sait la justesse des propos de Mary Jemison : elle fut la première femme iroquoise que les Blancs écoutèrent.

lundi 22 mars 2010

Gilles Leroy : Alabama Song

Les garçons des clubs, les jeunes officiers du mess, je les tiens dans ma main gantée de fil blanc. Je suis Zelda Sayre. La fille du Juge. La future fiancée du grand écrivain.
Du jour où je l'ai vu, je n'ai plus cessé d'attendre.
Et d'endurer, pour lui, avec lui, contre lui.

Montgomery, Alabama, 1918. Quand Zelda, "Southern Belle", rencontre le lieutenant Scott Fitzgerald, sa vie prend un tournant décisif. Lui s'est juré de devenir écrivain : le succès retentissant de son premier roman lui donne raison. Le couple devient la coqueluche du Tout-New York. Mais Scott et Zelda ne sont encore que des enfants : propulsés dans le feu de la vie mondaine, ils ne tardent pas à se brûler les ailes...

Gilles Leroy s'est glissé dans la peau d'une Zelda, au plus près de ses joies et de ses peines. Pour peindre avec une sensibilité rare le destin de celle qui, cannibalisée par son mari écrivain, dut lutter corps et âme pour exister...

Mêlant avec brio éléments biographiques et imaginaires, Gilles Leroy signe ici son grand "roman américain".

vendredi 12 mars 2010

Joyce Carol Oates : Le goût de l'Amérique

Hazelton on Hudson : une opulente petite ville du nord-est des Etats-Unis, où vivent nombre d'universitaires prestigieux formant une communauté brillante et soudée. Parmi eux, Ian et Glynnis McCullough - lui démographe reconnu, elle maîtresse de maison parfaite, cuisinière émérite, auteur de livre de gastronomie dont le dernier à paraître s'intitule Le goût de l'Amérique - représentent, après vingt-six ans de mariage, le couple idéal, l'incarnation même du rêve américain.

Pourtant, en quelques minutes d'égarement et de violence a priori inimaginables, la mort détruit tout : le couple, la communauté, le rêve.

Avec une férocité qui n'exclut pas la compassion, Joyce Carol Oates dissèque l'âme de ces intellectuels, idéalistes pour la plupart, frottés aux drames de la planète, et si vulnérables aux passions du commun. A Hazelton on Hudson, on meurt aussi de jalousie...

lundi 15 février 2010

Jerome Charyn : Hemingway. Portrait de l'artiste en guerrier blessé

L'un des écrivains américains les plus connus et les moins compris, Ernest Hemingway, continue de hanter notre siècle avec sa prose étrange et cristalline. Né en 1899 dans une paisible banlieue de Chicago, Hemingway quitte très tôt le cocon familial pour s'engager à dix-huit ans comme ambulancier de la Croix-Rouge sur le front italien. Son expérience de la guerre et sa rencontre avec la mort seront le point de départ d'une œuvre prolifique, qui ne fut en fait qu'une longue autobiographie romancée. Jeune prodige des lettres, il publie son premier roman à succès à vingt-sept ans et ne cesse dès lors de connaître la gloire. De Paris à Key West, de Madrid à Cuba, cet homme qui aimait "chasser" les mots exorcisa la mort toute sa vie. Jerome Charyn nous invite à une relecture de cet expérimentateur de génie dont le talent fut peu à peu éclipsé par une célébrité trop médiatisée, de cet homme dévoré par son succès.

mercredi 30 décembre 2009

Jacques Cabau: La prairie perdue. Le roman américain

En perdant la Prairie, l'Amérique a trouvé son roman et perdu son idéal. Paradoxe puritain dont naît la littérature et meurt le libéralisme américain. Sur ce thème de l'innocence perdue, le Nouveau-Monde s'est donné une épopée que lui envie l'ancien.

Cette anatomie du roman américain n'est pas seulement une étude littéraire, mais une recherche des faits sociaux, politiques et psychologiques qui expliquent l'évolution du roman américain de Cooper à Updike, de Mark Twain à Truman Capote, de Melville à Nabokov ou Styron. L'auteur ne néglige par ailleurs ni romans policiers, ni best-sellers, ni science-fiction, pour mieux faire comprendre comment le roman américain est la voix d'un peuple tout entier.

samedi 19 décembre 2009

Daniel Wallace: Big Fish. Roman aux proportions mythiques

"Les gens qui ont rendez-vous avec lui procèdent ainsi: ils se débrouillent pour savoir où il sera tel jour, calculent qu'un conducteur aussi lent restera dans les parages jusqu'à la fin de la semaine, puis prennent un avion pour l'aéroport le plus proche. Une fois arrivés, ils louent une voiture et roulent jusqu'à ce qu'ils l'aient rattrapé. Ils le dépassent et klaxonnent, mon père se tourne lentement vers eux (à la façon dont Abraham Lincoln aurait tourné la tête s'il avait jamais conduit une voiture, parce que, dans ma tête, dans le souvenir qui s'est logé imperturbablement dans mon cerveau, mon père ressemble à Lincoln, cet homme aux longs bras, aux poches profondes et aux yeux sombres) et il leur fait signe. Il s'arrête, et celui qui a besoin de lui parler vient prendre place à côté de lui, l'adjoint ou l'avocat s'assied à l'arrière, et, tout en roulant sur ces superbes routes vagabondes, ils concluent leur affaire. Et, qui sait, peut-être a-t-il même des liaisons amoureuses dans cette voiture, des idylles avec des femmes splendides, des actrices célèbres..."

Imaginez un père extraordinaire ; imaginez des histoires à dormir debout qu'il vous ramène des quatre coins du monde, imaginez un héros mythique dont les berceuses sont comme autant d'épopées ; imaginez un homme incapable de rester sérieux plus de quelques secondes ; et puis, à l'heure de son dernier voyage, soudain, vous ne savez plus trop lequel de vous deux joue à faire l'enfant.

vendredi 11 décembre 2009

Emily Dickinson: Lieu-dit L'éternité

Ce volume réunit plus de cent cinquante poèmes de l'une des plus grandes poétesses du 19e siècle. Hantée par le néant, Emily Dickinson n'a eu de cesse de questionner la nature, la folie, la foi, l'amour et la mort. Sa poésie, habitée de fulgurances mystiques, joue autant de la gravité que de l'ironie, de l'émerveillement que de la dérision, mêlant sentiments intimes et thèmes universels avec une audace stylistique et rythmique d'une modernité saisissante.

dimanche 29 novembre 2009

Richard Wright: Black Boy

Richard Wright, premier grand romancier noir, est né en 1908 à Natchez dans le Mississippi, une région où la ségrégation raciale sévit à cette époque avec violence.

Il raconte dans Black Boy sa découverte de la vie dans un climat de terreur: les évènements tragiques dont sa famille et ses amis sont les victimes lui inspirent un étonnement qui devient vite une prise de conscience du racisme contre les Noirs. L'accès à la richesse et à une vie seulement décente est interdit aux Noirs, qui sont condamnés à la résignation ou à une soumission sournoise pour survivre. Richard, enfant, se refuse à comprendre et à admettre. A quatorze ans, il écrit une longue nouvelle toute secouée d'indignation, aussitôt publiée par un journal local. Nouvelle stupeur: sa famille d'un puritanisme stérilisant et ses amis s'écartent de lui; il a osé exprimer ce qui ne doit jamais être révélé au grand jour: la révolte des Noirs. Richard souffre d'une solitude qui n'a d'égale que sa faim. Il part dans le Nord chercher du travail et s'installe à Chicago dans un quartier sordide.

Son premier roman, Native Son, paru en 1940, lui confère une renommée immédiate. Black Boy (1945) confirme son talent et sa réputation. Pour la première fois un grand romancier parle de ses frères et attire sur eux l'attention des intellectuels et du public.

La nostalgie, le réalisme savoureux, une angoisse communicative le font comparer à Dostoïevski. Malgré son succès, Richard Wright quitte son pays et s'installe à Paris, sur la Rive Gauche. Il est accueilli par Sartre et le groupe des Temps modernes. Son troisième grand roman, The Outsider, paraît en 1953. De nouvelles tendances se font jour, influencées par les idées en cours. Wright est déchiré entre son pays natal qui l'a marqué de façon indélébile et l'Europe dont la découverte le fascine.

Il publie de nouveaux ouvrages, des reportages de voyages en Afrique, en Indonésie et en Espagne. Après sa mort, survenue en 1960, on publie un roman de jeunesse situé à Chicago et un recueil de nouvelles.

Richard Wright a ouvert la voie aux écrivains de couleur. Ses successeurs se nomment James Baldwin, LeRoi Jones, Chester Himes.

samedi 21 novembre 2009

Charlaine Harris: La communauté du Sud / 1. Quand le danger rôde

"Moi, Sookie Stackhouse, j'ai un faible pour les vampires. Et à La Nouvelle-Orléans, ce n'est pas ça qui manque! D'ailleurs, un soir, un gentleman amateur d'hémoglobine, Bill Compton, a débarqué dans le bar où je travaille, Chez Merlotte. Comme j'ai la faculté de lire dans les pensées, j'ai vite compris qu'il avait de gros ennuis..."

Les vampires vivent désormais parmi les humains grâce à un substitut leur permettant de se nourrir sans tuer. Mais la méfiance règne toujours à Bon Temps, petite ville de l'Amérique profonde. L'arrivée de Bill, ténébreux vampire du 19e siècle va bouleverser la vie de la jeune serveuse télépathe, Sookie, d'autant qu'une vague de crimes s'abat sur la ville.