Depuis des siècles, les Japonais entretiennent une relation très proche avec la nature, et leurs jardins témoignent de ce profond attachement. Chacun d'eux, qu'il soit dédié à la contemplation ou à la promenade, est le résultat d'un travail de conception élaboré tant d'un point de vue architectural que symbolique.
Les premiers écrits japonais sur le thème remontent au XIe siècle. Le texte fondateur présenté ici date de 1395, époque fortement marquée par le développement du bouddhisme zen; c'est la première fois qu'il est traduit en français.
Dans ce recueil de traditions secrètes, on apprend l'art de poser les pierres, celui de construire "l'île du souffle d'en haut" et d'atteindre ainsi "deux bonheurs et trois biens"...
Poèmes de grands auteurs japonais et calligraphies de Keiko Yokoyama viennent délicatement émailler cet étrange traité où la science du jardin mêle souvent recherche esthétique et préoccupations philosophiques.
Les premiers écrits japonais sur le thème remontent au XIe siècle. Le texte fondateur présenté ici date de 1395, époque fortement marquée par le développement du bouddhisme zen; c'est la première fois qu'il est traduit en français.
Dans ce recueil de traditions secrètes, on apprend l'art de poser les pierres, celui de construire "l'île du souffle d'en haut" et d'atteindre ainsi "deux bonheurs et trois biens"...
Poèmes de grands auteurs japonais et calligraphies de Keiko Yokoyama viennent délicatement émailler cet étrange traité où la science du jardin mêle souvent recherche esthétique et préoccupations philosophiques.