Tôt le matin, tard le soir, Clarissa Dalloway se surprend à écouter le clocher de Big Ben. Entre les deux carillons, une journée de printemps, une promenade dans la ville, le flux des états d'âme et le long monologue d'une conscience.
Clarissa tente "de sauver cette partie de la vie, la seule précieuse, ce centre, ce ravissement, que les hommes laissent échapper, cette joie prodigieuse qui pourrait être nôtre". Et pourtant résonne déjà dans ce livre, le plus transparent peut-être de l'œuvre de Virginia Woolf, comme la fêlure de l'angoisse ou le vertige du suicide.
Clarissa tente "de sauver cette partie de la vie, la seule précieuse, ce centre, ce ravissement, que les hommes laissent échapper, cette joie prodigieuse qui pourrait être nôtre". Et pourtant résonne déjà dans ce livre, le plus transparent peut-être de l'œuvre de Virginia Woolf, comme la fêlure de l'angoisse ou le vertige du suicide.