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Clarissa tente "de sauver cette partie de la vie, la seule précieuse, ce centre, ce ravissement, que les hommes laissent échapper, cette joie prodigieuse qui pourrait être nôtre". Et pourtant résonne déjà dans ce livre, le plus transparent peut-être de l'œuvre de Virginia Woolf, comme la fêlure de l'angoisse ou le vertige du suicide.